De l’acupuncture à l’hypnose en passant par la musicothérapie, les psychothérapies, l’e-santé, les plantes, les stratégies diététiques ou les thérapies manuelles, le Pr Grégory NINOT, Directeur adjoint de l’Institut Desbrest d’Épidémiologie et de Santé Publique (UM – INSERM), passe au crible les pratiques officiellement dénommées « Intervention non médicamenteuses » (INM) et plus communément sous le vocable fourre-tout de « médecines douces ».